Le grand garçon qui veut voir !
Ce fils a égaré pour ce jour, les travaux de son champs,
De voler dans les cieux, il y avait songé sans encombre,
Ce chérubin survit, téléguidé, c’est tout ce qu’il prétend,
Sa pensée délirante n’apprend que de ces gages en nombre.
Labeur d'otage où s’appuie la teinte pour paraître,
Quand tu susurres, souvent, armant tes maux de marbre,
Découvert pour revoir les petits sourires de ton être,
Les idées mal conseillées déblayent, mais te délabrent.
Les petites chaleurs embellissent ces rejetons parvenus,
Demain, comme un bouffon, préposé à tes orteils,
Décriant par sa présence tous les géants inconnus,
Par ses pairs, rappelée en de courts instants de merveille.
Quand au soir, il est là, découvrant ses atours, il s’ennuie,
Car ce qu’il entrevoit n’est qu’une immense douleur,
D’une starlette sur un seuil de vermeil pour son bel acabit,
La science d’un ami se voudrait être projecteur...
Ce fils a égaré pour ce jour, les travaux de son champs,
De voler dans les cieux, il y avait songé sans encombre,
Ce chérubin survit, téléguidé, c’est tout ce qu’il prétend,
Sa pensée délirante n’apprend que de ces gages en nombre.
Labeur d'otage où s’appuie la teinte pour paraître,
Quand tu susurres, souvent, armant tes maux de marbre,
Découvert pour revoir les petits sourires de ton être,
Les idées mal conseillées déblayent, mais te délabrent.
Les petites chaleurs embellissent ces rejetons parvenus,
Demain, comme un bouffon, préposé à tes orteils,
Décriant par sa présence tous les géants inconnus,
Par ses pairs, rappelée en de courts instants de merveille.
Quand au soir, il est là, découvrant ses atours, il s’ennuie,
Car ce qu’il entrevoit n’est qu’une immense douleur,
D’une starlette sur un seuil de vermeil pour son bel acabit,
La science d’un ami se voudrait être projecteur...